M. Grosvalet, président du conseil général 44, avait besoin d’être rassuré sur le projet de
Notre Dame des Landes, après les premières « fuites » de la Commission de dialogue
émettant des doutes et réserves sur les arguments des pro et des anti-aéroports. Il a
donc écrit à François Hollande qui lui a répondu de façon paternelle,
appliquant les préceptes de son saint patron, François
d’Assise : « Cet équipement est indispensable afin de répondre à
la très forte croissance du trafic aérien de la métropole nantaise ». (Là où il y a le doute que je mette la foi).
Mais il ajoute : « Pour autant, le Gouvernement
entend fonder son action sur l’écoute, la discussion et la concertation garants
de la légitimité de l’action publique et de la réalité du débat
démocratique », d’où la création de la Commission du dialogue.
(Là où il y a la discorde que je mette l’union).
Après lui avoir écrit (29 lettres adressées, bientôt la 30ème
abordant toutes un aspect différent du dossier) et restant toujours dans l’attente d’une
rencontre, nous, opposants au projet de
Notre Dame des Landes,lui demandons simplement et humblement de continuer à respecter les
règles de Saint François :
Là où il y l’erreur
que je mette la vérité !
Là où il y a liberté d'expression que je mette le bâillon ! (voir actu Dijon)
RépondreSupprimerLà où il y a droits de l'homme que je mette centurions ! NDDL
Là où il y a espèces rares que je mette aérogare !
Indigné
AMEN HOLLANDUS ! ,ERRARE HUMANUM EST,PERSEVERARE DIABOLICUM !
RépondreSupprimerLà où il y a outrance que j'assume verte croissance !
RépondreSupprimerExcellent ! On notera au passage que c'est bien la première fois que François répond à une lettre concernant NDDL. Comme quoi sa vision de la démocratie consiste à rester entre soi pour dialoguer et s'auto-féliciter sur ses Grands projets au lieu d'esquisser ne serait-ce qu'une petite réflexion de fond sur les questions posées à l'extérieur.
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