dimanche 22 avril 2012

Jean-Marc AYRAULT : l'aéroport de trop?

Nantes, si belle... : son architecture, la qualité de son climat, sa qualité de vie, sa vitalité économique, son dynamisme culturel…

Nantes, marquée par l’empreinte d’un homme, Jean-Marc AYRAULT, aux commandes depuis 21 ans. La ville lui doit sa métamorphose.


Jean-Marc AYRAULT, « héros » local, peut s’énorgueillir d’avoir placé Nantes aux premières places du palmarès des villes attractives grâce notamment à une puissante stratégie de communication et des projets culturels d’envergure (folles journées, Royal de Luxe, les machines de l’Ile,…).

Mais, comme tout artiste au sommet de sa gloire, il doit être vigilant car la moindre erreur ne lui sera pas pardonnée. Il doit donc veiller à ne pas réaliser le projet de trop qui dénaturerait l’ensemble de son œuvre, qui jetterait l’opprobre sur l’avis unanime qui l’entoure.

Tout le monde oublierait alors tout ce qu’il a pu faire de bien, pour ne finalement retenir que cette ombre au tableau que pourrait bien être l’aéroport de Notre Dame des Landes.

Ce serait bien dommage… pour tous.

3 commentaires:

  1. Comme un cadre supérieur ou un dirigeant d'entreprise, Ayrault est comme le décrit la chronique arrivé effectivement à son TMI, Taux Maximum d'Incompétence, qui désigne en management le point où un dirigeant perd la notion de la réalité et des enjeux, emporté par son auto valorisation et la mégalomanie. La solution généralement retenue est de promouvoir l'individu à l'échelon supérieur. Il rentre alors dans une autre phase et repart dans un nouveau cycle...

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  2. Et oui, c'est ce qu'on appelle le principe de Peters, et sa version aggravée : le principe de Dilbert.
    Plus de détail (et quelques sourires) ici : http://www.vinch.be/blog/2010/08/02/le-principe-de-peter-et-le-principe-de-dilbert/

    Tout mon soutien aux grévistes et à leurs proches. Vous êtes formidables.

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  3. Dommage pour Mr AYRAULT / Il porte pourtant un nom qui a pu lui seoir pendant un moment pour SA ville de Nantes .
    Il est désormais emporté par sa vanité .

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